Cet article est un bon exemple du contenu que vous pouvez recevoir régulièrement dans votre boite mail si vous vous abonnez (gratuitement) à La Lettre des Nouvelles Narrations.
A l’occasion de Festival du Film Indépendant de Bordeaux, Storycode Bordeaux a organisé le 17 octobre 2016 une soirée sur le thème de l’écriture interactive à laquelle j’ai été convié pour une intervention introductive. J’ai décidé de parler de « l’utilité » de la création interactive devant un parterre d’environ 80 personnes et en compagnie d’invités de luxe.
Etant souvent confronté à la question « mais à quoi ça sert ? » ou encore « et en quoi c’est mieux qu’un film ? », j’ai eu envie de mettre en avant les pouvoirs uniques des narrations interactives.
Aujourd’hui, les webséries et la réalité virtuelle semblent dominer le haut du panier, tant chez les diffuseurs que chez les fonds de financement comme le CNC. Leur potentiel de marché attire davantage l’attention des industries créatives, là où bon nombre d’oeuvres interactives produites depuis 10 ans ont été offertes – en partie à dessein, en partie par contrainte – de façon gracieuse au public. Cette évolution progressive des choses à d’ailleurs été mise en lumière récemment à l’occasion d’une conférence du dernier festival I Love Transmédia intitulée « L’interactif est mort, vive l’interactif !« .
Indirectement, mon intervention est une contribution à cette réflexion. J’espère avoir réussi à pointer du doigt de façon positive ce que cet art peut apporter à certains récits, à vous de me dire :
Pour un accès plus simple, voici les projets cités lors ce cette conférence :
- Wei or Die (fiction, 2015)
- Tantale (fiction, 2016)
- Humani: Jessie’s Story (chatbot, 2016)
- Sortie en Mer (contenu de marque, 2015)
- Do Not Track (documentaire, 2015)
- Two Billion Miles (journalisme, 2015)
Si cet article vous a plu, poursuivez votre lecture avec d’autres articles ou avec mes livres sur les nouvelles écritures.